[je reprends (enfin...) ce récit à épisodes... Je vous invite néanmoins à relire les parties précédentes pour vous remémorer la situation]
Après avoir ainsi fait le tour de moi plusieurs fois, et avoir flatter mes fesses, elle m'indique calmement "tu vas te mettre à quatre pattes sur la table là bas (en m'indiquant la table du séjour)". Puis tout en se ré-asseyant calmement dans le salon elle ajoute sèchement "maintenant !!!". Je m'exécute, assez penaud et plutôt rapidement, ses mots choisis, ses intonations me font autant d'effet qu'une gifle. Je me surprends à monter sur la table et me mettre dessus à quatre pattes comme indiqué. Je ne l'aurais pas imaginé mais être ainsi à poil, en hauteur au milieu du séjour (qui me paraît alors si vaste) rend la chose terriblement humiliante... Je n'ai plus le côté "rassurant" d'être au sol, presque caché par un meuble ou l'autre (c'est à cet instant que je le réalise). Oui, être là comme ça, c'est pour le moins humiliant... Et ce n'est qu'un début. Cette mise en place laisse la place à un long silence. Là aussi c'est terriblement humiliant. Alors que Maîtresse est confortablement assise dans le salon, détendue, je suis à plusieurs mètres dans l'autre partie de la pièce, à poil sur la table à 4 pattes. Cette situation durera de très longues minutes, ce qui rend la chose d'ailleurs de plus en plus humiliante au fur et à mesure que le temps passe. J'ai comme l'impression que cette non-action fait partie du "dressage". Je suis là, à attendre dans cette situation, simplement parce que Maîtresse me l'a ordonné. Point. Et c'est ainsi qu'Elle veut les choses. Je réalise alors combien je deviens son objet, sa chienne qui n'a qu'un droit : obéir et me soumettre. Je comprends qu'alors qu'elle peut décider du moindre de ses gestes, de ses envies et de la suite, moi je ne peux même pas avoir le choix de bouger. Je sens son regard régulièrement se porter sur moi, puis repartir dans ses pensées. Je suis là exhibé, totalement impudique et offert à son regard. je la sens tantôt me scruter, tantôt "m'oublier" volontairement, se perdre dans ses pensées. Je la devine tantôt satisfaite de mon obéissance naissante, tantôt se dire qu'il y a tant de choses à m'apprendre, que ce n'est que le début du dressage...
Elle se lève... Elle s'approche de la table. Sur le côté de la table, moi toujours dessus, elle prend du bout des doigts mon sexe, qu'elle tient donc ainsi juste pour le regarder comme on regarde un asticot ou en tous cas une chose abjecte... Elle le relâche, de la même manière avec même un petit mouvement de rejet, et un ricannement. Humiliant... Très... Dans son ricannement j'ai en effet senti à la fois une moquerie et aussi une façon de dire "maintenant c'est moi qui vais gérer cette petite chose"... Elle passe derrière moi, doucement... Je sens qu'elle pose l'index et le pouce d'une main autour de mon anus. Elle l'écarte. Je sens qu'elle bouge ensuite la tête dans diverse position pour le scruter... Comme on essaye de regarder dans un petit trou... Longuement... J'entends un simple "Ok...". Puis elle ajoute calmement "en levrette...". Etrange je n'ai pas perçu cela comme un ordre ou une demande, juste un commentaire comme si elle se parlait à elle-même. Je crois que c'était volontaire. Je ne réalise pas. Elle insiste d'une voix affirmée mais sans crier : "j'ai dit : 'en le-vret-te' !". Je bouge un peu, écarte un peu les jambes. Elle ricane... Elle, comme exaspérée "et bien, il y a du boulot...". Elle s'approche de mon oreille et chuchotte : "Bon. Je ne vais pas y aller par 4 chemins. Tu vas te faire sauter... Je veux que tu apprennes ce à quoi tu sers, et dès aujourd'hui tu vas passer à la casserole. Je vais te sauter... Et plus d'une fois, crois moi...". Elle ajoute : "Dans ce domaine, comme dans tous les autres, j'attends de toi que tu me facilites les choses et que tu obéisses au doigt et à l'oeil...". "Quand je dis 'en levrette', je voudrais une levrette digne de moi. Je veux que si je t'offre à un homme, il constate de lui même qu'en un mot tu sais faire... et parfaitement... et tout de suite... et que tu et O-BE-I-SSAN-TE, en bonne salope". Elle se dégage de mon oreille, ses gestes deviennent plus rapides, plus assurés, elle claque entre mes cuisses en ordonnant "écarte..."."Encore...". Elle passe sur le côté m'appuie sur les reins "cambre !". Elle soulève mon cul, "cambre ! Et offre ton cul !". Elle repasse entre mes cuisses "Ecarte!", reviens sur le haut de mon dos "baisse ! cambre-toi". Après de nombreux ordres et gestes, je suis dans une position plus qu'impudique (mais exemplaire pour une salope...). Cul offert, reins totalement cambrés. Mais surtout totalement inconfortable. Elle le remarque, et souligne : "ce n'est pas confortable, je sais, mais ce n'est pas le but ! Tu es là pour MON plaisir, et celui de ceux à qui je veux t'offrir, pas pour le tiens ! Toi, tu obéis, point-barre.". Elle ajoute "Voilà donc là tu es en levrette dans la position exacte que j'appelle par ce terme.". "Je considère désormais que c'est un acquis, je ne veux plus une seule fois avoir à te corriger". "Quelque soit le moment et le lieu, un mot et tu as intérêt de me prendre E-XAC-TE-MENT cette position. Suis-je claire ?". Je balbutie "oui...". Je prends une claque sur les fesses, je précise "oui Maîtresse...". "Tu oublies un peu trop... beaucoup trop, même... Ca va changer ...". Sur ces mots elles quitte la pièce d'un pas sûr et déterminé...