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Son Royaume

Derniers commentaires
12 juillet 2011

Real Life.... Why not....

Voilà un bail que je n'ai pas écrit ici... Ce n'est pas les idées qui manquent mais ... un tas de bonnes raisons ont faits que.... Bref.

Un petit (?) fantaSMe auquel je pense depuis quelques temps. En fait c'est une discussion avec une Maîtresse (avec qui il n'y a rien eu de plus) qui avait une silouette très bien sculptée (sans que ce soit trop) qui m'a fait penser à cela. Entendons-nous bien, ce n'est pourtant pas l'apparrence physique qui m'importe chez une Maîtresse, mais ici cela lui valait bien un compliment. Et elle m'a répondu "Ca s'entretient... Je fais du sport pour...". (re-)Bref.
J'ai alors repensé au fait que j'avais un peu de poids à perdre. Moi qui ait été plutôt maigre jusque 25 ans, l'arrêt du sport et mon mode de vie m'a ammené à 90 kgs (bien tassés...) pour 1m78 environ. Bref (3ème...), un peu de poids à perdre.... J'y pense... et puis j'oublie... ;-) Je pense que déjà surveiller mon alimentation serait une bonne chose, et que quelques petits trucs dans le genre pourraient m'aider facilement à perdre du poids. Mais voilà, il faut s'y mettre, s'y tenir, etc... Alors m'est venue l'idée de conjuguer les 2. J'imagine alors fort bien en effet, avoir à perdre du poids comme l'un des objectifs fixés par Celle qui me prendra en main. Cela, avec par exemple (sûrement) une montée sur la balance à chaque fois (très animal, quelle humiliation...), et probablement sanctions et punitions, seraient (j'en suis sûr...) d'excellents moteurs... Et ce serait aussi un moyen de penser alors à Celle qui serait Ma Maîtresse plusieurs fois par jour, en plus de mon habitude de le faire constamment (si, si...) lorsque je suis dans une telle relation...

Reste à trouver La-Dite Maîtresse..............

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14 novembre 2009

Troussée...

J'inaugure une nouvelle catégorie qui consistera à mettre ici un fantasme qui me passe par la tête (et il y en a plusieurs par jour) décrit en juste quelques mots.

Je fantasme énormément ces jours-ci sur le fait d'être "troussée". Ceci veut déjà dire porter une robe ou une jupe, féminine.... Très excitant... Et me retrouver donc dans une situation telle que Maîtresse lève ma jupe, baisse ma culotte, et s'occupe de moi peut-être pour me prendre......... Je ne sais pourquoi mais je m'imagine d'ailleurs à 4 pattes, que ce soit à terre ou sur la table. Mais l'idée d'être ainsi troussée puis déculottée est humiliante tout autant que le fait de garder ainsi les vêtements et de les sentir juste soulevés (ou baissés pour la culotte) par Maîtresse pour faire ce qu'Elle a à faire............

3 novembre 2009

Princesse (Partie V)

[Je vous invite à nouveau à relire les parties précédentes (au moins la dernière) pour vous remémorer la situation si vous ne l'avez plus en tête]

Mon corps se détend enfin au moment où Elle quitte la pièce. Je veille néanmoins à ne pas (trop) bouger... A peine, le temps de me faire cette réflexion, que j'entends ses pas et la sens revenir, accompagnée d'un tintillement suspect... "Ce n'est pas que je n'ai pas confiance, dit-elle alors, mais il me semble qu'avec toi je doive veiller à la moindre chose... Finalement, c'est mieux comme cela, car à l'inverse, j'exige de toi la PER-FEC-TION. Donc s'il faut mettre les moyens, tu verras que je les mettrais...". Tout en me disant cela, je sens qu'Elle me prend un de mes pieds, et passe quelque chose autour de celui-ci qu'elle remonte jusqu'en haut de ma cuisse, ceci est accompagné toujours du même bruit étonnant de "grelots". Elle fait de même avec mon autre jambe. A cet instant je glisse un oeil pour m'appercevoir que ce qu'elle vient de me passer n'est autre qu'une jarretière, une à chaque cuisse, totalement identiques à celles que l'on trouve pour les mariées. Chacune est ornée de nombreux rubans blanc et roses d'une dizaines de centimètres, formant de jolis noeuds et auquels sont attachés en plus de petites clochettes. Tout cela, tellement féminin est terriblement humiliant... Mais alors que je me fais ces réflexions et que le tintement des clochettes ajoute incroyablement à l'humiliation, je m'apperçois que Maîtresse continue de parfaire mon accoutrement nouant à la base de mon sexe, autour de mes bourses des rubans, un de chaque couleur, blanc et rose, identiques à ceux des jarretières et auquels sont également attachées plusieurs des fameuses clochettes. Elle fait ensuite de même autour de mon cou, où j'arbore maintenant aussi de jolis noeuds garnis de clochettes. Cet "habillage" de ma personne m'a immanquablement fait bouger de la position que j'avais jusqu'alors. Et même si, j'ai veillé à ce que ce ne soit pas le cas, Maîtresse ne manque pas de me le faire remarquer, toujours avec la même voix ironique : "il ne me semble pas que je t'avais demandé de te mettre en levrette ???". Mais alors que je tente de reprendre la-dite position, je sens que Maîtresse me place alors des pinces à linges sur les testicules. J'arrête alors mon mouvement qui visait à reprendre la position demandée. Une subite claque sur les fesses me rappelle alors à l'ordre faisant au passage sonner l'ensemble des sonnettes qui composent mon attirail. "Quand je donne un ordre, tu obéis de suite ! Quelque soit les circonstances ! Je veux que tu te mettes en levrette, tu obéis, tout de suite, et tu n'as pas à t'arrêter parce que je veux te mettre 2 malheureuses pinces ! De même, tu n'as surtout pas à me gêner ou m'empêcher de mettre les pinces pendant que tu exécutes l'ordre... Débrouilles-toi, tu dois savoir concilier l'obéissance immédiate et ta mise à MA disposition." Puis Maîtresse termine son recadrage par un "en LE-VRE-TTE ..." répetté une n-ième fois et épelé de façon claire distincte mais aussi des plus menaçantes, tout en mettant à point d'honneur à continuer l'installation des pinces qu'Elle avait commencé, joignant ainsi les gestes aux instructions données... J'essaie donc tant bien que mal de conjuguer obéissance aux ordres avec un libre accès de mon corps à Maîtresse afin qu'Elle effectue ce qu'Elle avait entrepris pendant que je me remets en position... Maîtresse en joue, et il est évident que la situation et la contrainte qu'Elle m'impose en m'ordonnant une position tout en me souhaitant disponible à ses manipulations l'amuse beaucoup...
A peine terminé et moi remise en position, je reprends une claque sur les fesses... Maîtresse accompagne ce geste d'un éclat de rire tout aussi moqueur qu'amusé : "j'adore le bruit que tu fais avec tes petites clochettes... C'est terriblement sexy... Ca fait vraiment 'je suis une petite salope en chaleur, prenez-moi...'. Hein ? Et puis avec la position que tu as, c'est pour le moins subjectif...". Une nouvelle claque sur les fesses : "cambre !". Je cambre au maximum. Elle introduit alors un doigt, puis deux dans mon anus... les fait tourner... Je lâche un léger soupir contraint étouffant un gémissement qu'au contraire elle interprète (volontairement à contre-pied) comme du plaisir et s'en amuse : "oui, je sais que tu aimes ça, que tu as envie de plus... Tes clochettes en frétillent... je vois bien que tu es en chaleur. Je te l'ai promis, tu vas prendre, ne t'inquiètes pas... Tu vas être plus que rassasiée... Tes trous vont être plus que comblés. Tu n'auras plus rien à envier à la plus grande des salopes...". Elle me fouille encore... Je gémis plus dela gêne que de plaisir... Elle retire ses doigts, fait le tour de moi et se place de l'autre côté de la table face à mon visage. De l'index elle me soulève le menton. "Ouvre !" J'ouvre la bouche. Elle, inspectant : "joli petit orifice également... Il y a de quoi combler... Mais de toutes façons ce qui compte ce n'est pas la taille de l'orifice... Ca, ça se travaille... Sans problèmes... Et fais-moi confiance pour ça....... Il est indispensable que tu puisses prendre de gros calibres via l'un ou l'autre de tes orifices.... Il serait dommage pour toi que le jour où je veux te faire prendre par l'un ou l'autre de tes trous, tu sois trop étroite... Mais ça n'arrivera pas... Crois-moi !!! Petit détail, j'oubliais... Mais je pense que tu l'auras compris : tes deux orifices, ton cul et ta bouche sont à MOI ! J'y mets ce que je veux et ce que je décide de mettre. Et crois-moi si je l'ai décidé, ça va rentrer........ Aussi, sache que pour moi des trous sont faits pour être comblés le plus possible. Et tu ne vas pas être déçue...". Accompagnant ses mots elle m'introduit ses doigts dans la bouche déjà ouverte et force un peu celle-ci manquant de m'étouffer. "Oui mais il va falloir que t'apprenne ma petite et que tu prennes bien profond ... ". A cet instant elle m'ordone : "sors ta langue !". Elle y fixe 3 nouvelles pinces, voilà comme cela je t'entendrais moins... Et remets toi en levrette......". "Voilà, j'aime beaucoup tes petites clochettes, je pense que tu les garderas sur toi au maximum et même plus... Peut-être même si l'on sort...". "Comme je te l'ai dit je trouve que ça fait très 'salope en chaleur' qui meurs d'envie de se faire fourrer. je n'ose à peine imaginer le bruit quand ce sera le cas... Mais ça me permet aussi de savoir si tu bouges du moindre millimètre (et ça me permettra aussi de savoir excatement où tu es), et c'est précisemment pour ça que je viens de te les mettre. Donc je te redis ce que j'ai dis tout à l'heure en quittant la pièce : tu te mets en levrette, ouverte (elle joint le geste à la parloe et m'écarte un peu plus encore les cuisses) et à partir de maintenant je ne veux plus un bruit.......". Comme pour sonner le top départ, elle me remet une nouvelle claque sur les fesses faisant tressaillir mon corps et les clochettes bruyamment, Elle ricanne puis attend la fin des tintements et s'accompagnant d'un "chuuuuut" Elle quitte de nouveau la pièce me laissant ainsi au milieu de la table, offerte de façon obscène, avec jarretières, rubans, clochettes et pinces et mon devoir dans cette position inconfortable de ne pas bouger, ce qui serait immédiatement trahi par un bruit suspect qu'elle en manquerait pas de remarquer... Alors qu'Elle quitte la pièce je réalise combien chacun de ses actes sont terriblement calculés et combien Elle est cérébralement au summum de sa Grandeur....

21 octobre 2009

Princesse (Partie IV)

[je reprends (enfin...) ce récit à épisodes... Je vous invite néanmoins à relire les parties précédentes pour vous remémorer la situation]

Après avoir ainsi fait le tour de moi plusieurs fois, et avoir flatter mes fesses, elle m'indique calmement "tu vas te mettre à quatre pattes sur la table là bas (en m'indiquant la table du séjour)". Puis tout en se ré-asseyant calmement dans le salon elle ajoute sèchement "maintenant !!!". Je m'exécute, assez penaud et plutôt rapidement, ses mots choisis, ses intonations me font autant d'effet qu'une gifle. Je me surprends à monter sur la table et me mettre dessus à quatre pattes comme indiqué. Je ne l'aurais pas imaginé mais être ainsi à poil, en hauteur au milieu du séjour (qui me paraît alors si vaste) rend la chose terriblement humiliante... Je n'ai plus le côté "rassurant" d'être au sol, presque caché par un meuble ou l'autre (c'est à cet instant que je le réalise). Oui, être là comme ça, c'est pour le moins humiliant... Et ce n'est qu'un début. Cette mise en place laisse la place à un long silence. Là aussi c'est terriblement humiliant. Alors que Maîtresse est confortablement assise dans le salon, détendue, je suis à plusieurs mètres dans l'autre partie de la pièce, à poil sur la table à 4 pattes. Cette situation durera de très longues minutes, ce qui rend la chose d'ailleurs de plus en plus humiliante au fur et à mesure que le temps passe. J'ai comme l'impression que cette non-action fait partie du "dressage". Je suis là, à attendre dans cette situation, simplement parce que Maîtresse me l'a ordonné. Point. Et c'est ainsi qu'Elle veut les choses. Je réalise alors combien je deviens son objet, sa chienne qui n'a qu'un droit : obéir et me soumettre. Je comprends qu'alors qu'elle peut décider du moindre de ses gestes, de ses envies et de la suite, moi je ne peux même pas avoir le choix de bouger. Je sens son regard régulièrement se porter sur moi, puis repartir dans ses pensées. Je suis là exhibé, totalement impudique et offert à son regard. je la sens tantôt me scruter, tantôt "m'oublier" volontairement, se perdre dans ses pensées. Je la devine tantôt satisfaite de mon obéissance naissante, tantôt se dire qu'il y a tant de choses à m'apprendre, que ce n'est que le début du dressage...

Elle se lève... Elle s'approche de la table. Sur le côté de la table, moi toujours dessus, elle prend du bout des doigts mon sexe, qu'elle tient donc ainsi juste pour le regarder comme on regarde un asticot ou en tous cas une chose abjecte... Elle le relâche, de la même manière avec même un petit mouvement de rejet, et un ricannement. Humiliant... Très... Dans son ricannement j'ai en effet senti à la fois une moquerie et aussi une façon de dire "maintenant c'est moi qui vais gérer cette petite chose"... Elle passe derrière moi, doucement... Je sens qu'elle pose l'index et le pouce d'une main autour de mon anus. Elle l'écarte. Je sens qu'elle bouge ensuite la tête dans diverse position pour le scruter... Comme on essaye de regarder dans un petit trou... Longuement... J'entends un simple "Ok...". Puis elle ajoute calmement "en levrette...". Etrange je n'ai pas perçu cela comme un ordre ou une demande, juste un commentaire comme si elle se parlait à elle-même. Je crois que c'était volontaire. Je ne réalise pas. Elle insiste d'une voix affirmée mais sans crier : "j'ai dit : 'en le-vret-te' !". Je bouge un peu, écarte un peu les jambes. Elle ricane... Elle, comme exaspérée "et bien, il y a du boulot...". Elle s'approche de mon oreille et chuchotte : "Bon. Je ne vais pas y aller par 4 chemins. Tu vas te faire sauter... Je veux que tu apprennes ce à quoi tu sers, et dès aujourd'hui tu vas passer à la casserole. Je vais te sauter... Et plus d'une fois, crois moi...". Elle ajoute : "Dans ce domaine, comme dans tous les autres, j'attends de toi que tu me facilites les choses et que tu obéisses au doigt et à l'oeil...". "Quand je dis 'en levrette', je voudrais une levrette digne de moi. Je veux que si je t'offre à un homme, il constate de lui même qu'en un mot tu sais faire... et parfaitement... et tout de suite... et que tu et O-BE-I-SSAN-TE, en bonne salope". Elle se dégage de mon oreille, ses gestes deviennent plus rapides, plus assurés, elle claque entre mes cuisses en ordonnant "écarte..."."Encore...". Elle passe sur le côté m'appuie sur les reins "cambre !". Elle soulève mon cul, "cambre ! Et offre ton cul !". Elle repasse entre mes cuisses "Ecarte!", reviens sur le haut de mon dos "baisse ! cambre-toi". Après de nombreux ordres et gestes, je suis dans une position plus qu'impudique (mais exemplaire pour une salope...). Cul offert, reins totalement cambrés. Mais surtout totalement inconfortable. Elle le remarque, et souligne : "ce n'est pas confortable, je sais, mais ce n'est pas le but ! Tu es là pour MON plaisir, et celui de ceux à qui je veux t'offrir, pas pour le tiens ! Toi, tu obéis, point-barre.". Elle ajoute "Voilà donc là tu es en levrette dans la position exacte que j'appelle par ce terme.". "Je considère désormais que c'est un acquis, je ne veux plus une seule fois avoir à te corriger". "Quelque soit le moment et le lieu, un mot et tu as intérêt de me prendre E-XAC-TE-MENT cette position. Suis-je claire ?". Je balbutie "oui...". Je prends une claque sur les fesses, je précise "oui Maîtresse...". "Tu oublies un peu trop... beaucoup trop, même... Ca va changer ...". Sur ces mots elles quitte la pièce d'un pas sûr et déterminé...

26 mai 2008

Apprendre la laisse (partie I)

Une chose par laquelle je suis depuis longtemps très attirée est le "dog-training" ou l'animalisation en général. Une Maîtresse avec qui j'étais en contact (malheureusement fini suite à des problèmes persos de son côté) et que j'avais rencontré m'avait dit un jour "je pense de plus en plus à aller t'apprendre la laisse". Cette phrase avait résonné dans ma tête comme une claque, une promesse teintée d'une "menace"... Nous avions au préalable beaucoup parlé ensemble de nos envies et limites. Et sur ce coup elle m'avait pris de court. Car, en effet, je demande une relative discrétion ce qui veut dire que je ne souhaite pas être vu ou pris en photo, voire, pire, filmé. Et par ailleurs, je suis donc attiré par le "dog-training". Pourtant j'avais compris à travers les mots que la Maîtresse s'assurerait de respecter la discrétion (je savais aussi qu'elle partageait mon avis et il est vrai que ça me rassurait), mais qu'elle était très attirée par une petite sortie en extérieure et que je n'y échapperais pas. C'était, en tous cas, pour moi, très exactement ce qu'il y avait derrière "je pense de plus en plus à aller t'apprendre la laisse"... Cela ne s'est jamais fait mais cette phrase et les idées qu'elle génère me traversent souvent l'esprit. Voilà donc comment cela aurait pu se passer... Comment je le "vit" régulièrement dans mon imagination...
Je suis ce soir au service de Ma Maîtresse. Nous avons passé minuit depuis un bon moment déjà. Et nous avons déjà bien profité de la soirée, ou plutôt elle a déjà bien profité de moi. Alors que je pense que la journée est bientôt finie et qu'elle va me faire bientôt dormir au pied du lit. Soudain, je la vois venir habillée, prête à sortir, avec un sac et à la main : ma chemise, mon pantalon et mes chaussures. Elle jette ces 3 effets sur le sol et me dit "tu t'habilles, on s'en va !". Je suis nu, face à la porte de la chambre d'hôtel. Pas le temps de réagir que déjà elle l'ouvre grand et me dis "dépêche !". Pas le temps de tergiverser, je l'entends compter "10...9... 8...". Pas le temps vraiment de réfléchir, c'est nu face à la porte grande ouverte que je m'habille. J'enfile donc très vite le pantalon, dans l'empressement, j'entends "5...4...", je passe une manche puis 2 de la chemise, attrape mes chaussures et sort en l'entendant finir son décompte. Dans le couloir je finis de m'habiller, fermeture du pantalon, boutons de la chemise et c'est sur une jambe que je saute pour mettre mes chaussures tout en suivant Maîtresse qui avance déjà vers l'ascenceur. Tout en finisant de m'habiller, je suis Maîtresse qui se rend au parking. Elle dévérouille la voiture jette son sac sur la banquette arrière, et prend place côté conducteur. J'ouvre la porte côté passager et m'assoit. Je me rends compte à cet instant qu'en agissant ainsi, sans me laisser le temps de souffler ou de réfléchir elle a réussi probablement ce qu'elle voulait : m'ammener en quelques minutes à peine à la voiture pour m'emmener là où elle le voulait alors que j'étais encore il y a peu nu dans la chambre. Je n'ai pas eu le temps de poser ou de me poser des questions, j'ai le strict nécessaire sur moi, ni sous-vêtements, ni chaussettes. Et je réalise que c'est probablement tout ce qu'elle voulait. Que cela bascule en très peu de temps...
Maîtresse démarre la voiture "t'as de la chance que je suis gentille et que je t'ai laissé mettre quelque chose sur le dos !" me dit-elle... "Mais vu le temps que tu as mis je ne sais pas si j'aurais dû...". Je balbutie un "merci Maîtresse"... Elle ne relève pas. Elle semble déterminée, je ne sais pas à quoi mais tout dans son attitude me fait réaliser cela et cela me fait comprendre, sans un mot que j'ai intérêt à "filer droit". Je ne risque donc rien qui ne puisse la décevoir. Nous roulons un bon moment. Je ne connais pas la route mais Maîtresse semble savoir où elle va. Nous avons quitté villes et lieux habités depuis un moment. Nous traversons campagnes et endroits boisés. Puis Maîtresse ralenti avant de prendre un petit chemin forestier. Après plusieurs centaines de mètres parcourus sur un chemin forestier, nous arrivons aux abords d'un sous-bois. L'endroit est désert, éclairé sur plusieurs dizaines de mètres de la lune et de la nuit claire et aussi l'absence d'arbre sur un petit périmètre. Ici dans ce sentier, en pleine nature, bordé par les arbres et cette forêt, et isolé ainsi du monde, Maîtresse arrête le véhicule. Elle sort. Je comprends que je dois l'imiter. Elle se met devant la voiture, sort d'un sac une laisse et un collier qu'elle jette sur le sol mi-herbe, mi-terre. Elle me tend le sac avec un "à poil !" cinglant. Je comprends comme à l'hôtel qu'il faut que je sois prompt. Je m'éxécute et me mets à nu en pleine nature. Bien que nous sommes dehors je me sens protégé dans cet environnement. Je comprends aussi que je n'ai pas le choix. Mais se mettre à nu comme cela en pleine nature, est une première et ça fait... bizarre !!! (A suivre...)

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14 mai 2008

Précisions

Les textes présents ici ne sont que des idées, des "pistes", "prétextes" pour indiquer mes attraits. Ils ne sont en aucun cas des scénarios immuables (comment pourrais-je prétendre cela en tant que soumis ?). Nombre de Maîtresses disent aimer l'improvisation et l'adaptation au lieu et au moment venus. Je précise donc que je partage totalement cet avis et que les idées que je couche ici ne sont pas des "menus" prédéfinis mais des orientations. Je pense sincèrement que de vivre quelque chose que je connaîtrais par avance dans les moindre détails ferais perdre à la situation beaucoup de son charme.

Je dois aussi préciser ici que beaucoup de textes sont en plusieurs parties, et que le blog est (comme souvent pour les blogs) dans un ordre inversement chronologique. Il est donc souhaitable de commencer ce blog à la dernière page et de revenir vers la première. Bonne lecture.

15 avril 2008

Punitions & motifs

J'ai trouvé cette phrase de MadameJ sur un forum de domination féminine très intéressante. J'apprécie en effet beaucoup ce genre de jeux :

"Je punis aussi très souvant mon mâle. J'utilise la technique de la mauvaise foi.
Je m'explique.
Je lui donne des ordres contradictoires ou impossible à réaliser. Nous savons tous les deux que les ordres que je donne ne sont pas réalisables, mais son statut de soumis ne l'autorise pas à aller contre mes ordres.
l'issu est fatale pour lui..."

26 juin 2007

Puni(E)

Après m'avoir fait habiller mi soubrette, mi lolita, Maîtresse vient de m'infliger une fessée magistrale "à l'ancienne". Courbée (elle utilise le féminin pour me parler) sur ses genoux, jupe troussée, culotte baissée juste sous les cuisses, elle m'a solidement tenu les mains dans le dos, pour de l'autre main m'administrer une cuisante fessée qui n'en finissait plus. Simple et efficace. Pour ajouter à mon humiliation, elle a donc décidé de me mettre un (très) long moment au coin. De manière très autoritaire, elle me fait mettre dans un coin de la pièce, ou plus exactement à 1 m du coin. Je comprendrais plus tard que ce détail lui permettra de pouvoir me voir aussi de devant ou y accéder. Sa voix claque. Elle exige que je mette les mains sur la tête. Elle me remonte le bas de la jupe pour la glisser dans la ceinture, dévoilant ainsi mes fesses. Ajuste la culotte baissée à mi-jambe, à 20 cm du sol. Elle me fait, de la voix et du geste (écartant mes genoux à l'aide de ses pieds) écarter les jambes en m'indiquant que la culotte n'a pas intérêt de tomber !!! Mes fesses rougies sont ainsi présentées et la tenue est plus qu'humiliante... Elle palpe mes fesses vigoureusement, leur donne quelques claques supplémentaires. Les mains sur la tête, présentée ainsi punie, et malgré que l'on soit seuls, elle et moi, je suis profondément humiliée... C'est durant un très long moment qu'elle me laissera ainsi exposée, alternant entre ignorance (vaquant à d'autres choses), observation de loin ou de près (non sans quelques ordres : "écartes les jambes !", remontrances ou commentaires), palpation ou claques supplémentaires... Punie et humiliée.........

16 juin 2007

Souviens-toi de Moi...

Dans le cadre d’une relation de domination, la punition et le châtiment est quelque chose d’essentielle voire d’indispensable. Une fois celle-ci déterminée par la Maîtresse, reste à en déterminer la teneur voire le nombre. Il peut s’agir de nombre de coup, de gouttes de cire, de pince, ou le temps en minutes de la sanction… Ce choix peut être fait par la Maîtresse, mais Elle peut parfois avoir besoin d’aide voire de hasard. J’ai déjà évoqué plusieurs idées là-dessus (jeu de l’oie…) et mon imagination continue d’en trouver jour après jour. C’est le cas encore cette fois. Ici, pas vraiment de hasard mais plutôt quelque chose d’inscrit dans la relation Maîtresse-soumis donc d’essentiel. L’idée est de prendre le numéro de téléphone de la Maîtresse comme support. S’il y a plusieurs châtiments ou punitions à donner (idéalement 5), la Maîtresse pourra prendre successivement (ou dans le désordre) chacun des 2 chiffres de son numéro. Elle fait ainsi comprendre au soumis que sa punition (ou au moins son nombre) est déterminée d’avance et qu’Elle ne fait que suivre une règle écrite. Elle marque aussi au sens propre (mais sans nécessairement de traces) comme au sens figuré ces chiffres dans l’esprit et le corps du soumis.

Une des variantes peut alors se pratiquer lors de rencontres avec une autre personne où on leur demande leur numéro, après quoi on leur dit ce à quoi il servira, que ce soit ladite personne ou la Maîtresse qui passe ensuite à l’acte…

« Souviens-toi de Moi » est donc un bon moyen de marquer un soumis et l’on remarquera que les initiales des premier et dernier mots vont d’ailleurs très bien ensemble…

4 juin 2007

Offerte et Prise

Parmi mes fantaSMes, j’imagine très souvent le jour où ma Maîtresse décidera de me prendre. Je sais que je dois cette chose à ma Maîtresse que je le veuille ou non. Et cette idée de ne pas avoir le choix est forte, humiliante et attirante. C’est le paroxysme de la soumission et de ma reconnaissance de la supériorité de ma Maîtresse. D’ailleurs je le veux profondément dans ma soumission, cérébralement, mais ne suis pas sûr de le vouloir physiquement et de sentir cette douleur et c’est ça aussi qui est attirant. Peu importe, puisque cela ne transgressera pas mes limites (discrétion et pas de traces), je sais que Maîtresse peut disposer de moi de ce côté comme Elle le souhaite et je sais qu’Elle ne s’en privera pas ! Je n’ai pas le choix et je sais donc que je devrais y passer. D’ailleurs cette idée de « passer à la casserole » m’emplie au plus profond de moi de tous les sentiments d’humiliation et de soumission que je recherche. Rien que l’expression elle-même me donne des frissons et j’imagine déjà Maîtresse me dire d’une voix calme mais déterminée en guise d’annonce : « tu sais ma chérie, tout à l’heure tu vas passer à la casserole, je vais m’occuper de ton petit cul, tu vas être bien ouverte et je vais bien te combler ». J’associe d’ailleurs cette idée avec une certaine « féminisation », une période où ma Maîtresse me parlera au féminin, et utilisera sûrement les termes de salope ou chienne. Je pense qu’il n’est pas impossible que cette annonce soit faite à un moment décalé, c'est-à-dire lors d’une conversation « normale », au restaurant par exemple ou lors d’une discussion avec son amie. Je ne sais d’ailleurs si cela sera fait en présence de quelqu’un d’autre ou non mais je sais que Maîtresse ne se privera pas si Elle peut m’ajouter cette humiliation ou ajouter ce spectacle lors d’une présence extérieure.

Au moment choisi, ma Maîtresse, seule ou non, passera à l’acte. J’aimerais alors beaucoup être longuement installée, préparée. Tout d’abord pour faire durer ce moment où Maîtresse me préparera et m’amènera à son désir de me prendre. Aussi, pour qu’Elle soit sûr que je sois disponible, offerte, ouverte et que je ne puisse échapper à son assaut aussi longtemps qu’il durera. Là encore la durée ou le choix d’être prise par Elle mais aussi offerte par exemple à quelqu’un d’autre n’est pas de mon ressort et je me dois de m’y plier. Je ne sais si Elle choisira de me mettre sur le lit (pratique) ou sur la table (très humiliant) mais je m’imagine bien qu’Elle me fera mettre à quatre pattes et que d’ailleurs Elle m’y guidera en laisse. J’imagine garder collier et laisse durant ce moment pour être attachée ou guidée. Ensuite j’imagine que mes chevilles seront d’abord munis de bracelets de mêmes que mes poignets. Ils seront ensuite écartés de sorte de pouvoir les attacher de chaque côté du meuble et m’écarter ainsi au mieux. De même peut-être que mes genoux le seront. Ensuite, je vois une barre d’écartèlement placée entre mes genoux pour m’obliger à m’ouvrir au maximum. S’y ajoutera peut-être un système de ceintures qui attachées sur le haut de mes cuisses, juste sous les fesses le écartera de chaque côté en étant relié sur les côtés du meuble. De même une large ceinture devrait m’empêcher de bouger dans un sens ou dans l’autre. Il faut pour le confort de Maîtresse que je reste ouverte et immobile. Mes coudes seront de même sûrement attachés. Enfin mon cou au besoin sera attaché ou guidé par la laisse. A ce moment je serais alors ouverte, et offerte. Reste à Maîtresse à combler mes orifices. En effet, je pense qu’Elle n’hésitera pas à profiter de la situation pour m’initier à mon statut de salope et m’apprendre à sucer, guidée par ses mains. Je n’imagine pas avoir la bouche vide et je pense que lorsque je l’aurais bien sucée, je serais de nouveau rempli par un autre gode voire un bâillon. Ceci aura l’avantage de combler ce trou et d’épargner à Maîtresse mes gémissements ou plaintes. A ce moment je serais alors disponible, offerte et à la disposition de ma Maîtresse. Elle pourra alors prendre tout son temps pour me préparer, me fouiller d’abord doucement puis me pénétrer comme Elle le veut. Cela signifie qu’Elle pourra sans hésiter me taper les fesses comme on le fait sur une bonne cochonne, bien me faire prendre conscience de mon statut par ses commentaires. Cela signifie aussi qu’Elle pourra prendre son temps, voire recommencer autant qu’Elle le veut. Les artifices du type gode voire gode vibrant pourront même lui permettre de se reposer et de faire d’autre chose pendant qu’Elle s’assurera que je suis bien étanche et fourrée…

Ce rêve est vraiment récurrent chez moi et si la crainte se mêle à l’envie, j’espère vraiment qu’il deviendra réalité si tel est Son plaisir…

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